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Business en Afrique : les éléments clés pour faire des affaires

Dernière mise à jour : 13 oct.


Avec la poursuite des réformes destinées à améliorer l'environnement des affaires, faire du business peut se révéler une stratégie payante, offrant des possibilités d'investissement à long terme et à rendement élevé, à condition de bien s’informer sur la manière dont il est possible de tirer parti des différents marchés de consommateurs qui s’y trouvent.

" Doing business in Africa " : Tel a été le thème de la table ronde organisée le 5 Octobre dernier par Business France — dans le cadre de l’événement Ambition Africa 2021 — , un sujet décrypté à travers les témoignages d’un panel composé de chefs d’entreprises, dirigeants de cabinet de conseil et directeurs de filiale à l’étranger. Sur la base de ces interventions, le webzine CEO Afrique présente quelques règles incontournables pour réussir vos affaires.


Faire des affaires en Afrique


« Je suis ravi de voir que l’élaboration de la série de rapports intitulés " Doing Business", émanant de la Banque mondiale, ait été abandonnée. J’en étais l’un des plus farouches opposants. Il existait une absence de lien évidente entre les théories déclinées dans ces documents et les perspectives réelles de marché, en termes de rentabilité. Beaucoup d'entreprises ont raté des opportunités ou ont du quitter un bon nombre de pays d’Afrique, juste parce que les différents rapports Doing Business les plaçaient en bas du classement concernant la facilité de faire des affaires ».

Cette déclaration sans ambages d’Abdou Souleye Diop, associé gérant du cabinet de conseil Mazars au Maroc, a le mérite de mettre en évidence la chose suivante : L’Afrique constitue une myriade de marchés pleins de promesses. Il y existe de nombreuses opportunités d'investissement pour accompagner la croissance et l’entrepreneuriat a le vent en poupe. Toutefois, pour une meilleure compréhension des spécificités des marchés et des pratiques professionnelles établies, les dirigeants devront travailler très fort à l’élaboration d’une véritable stratégie d’implantation locale afin d’éviter les écueils qui pourraient se profiler.


« L’Afrique éveille beaucoup plus d'intérêt que d’autres continents, notamment de la part de la Chine. La Turquie est également très actif. À noter la Corée du Sud qui se focalise sur quelques pays d’ Afrique de l’Est [ ... ]. La question ne se pose plus de savoir s'il faut aller prospecter les marchés africains » atteste Francois Tartarin, directeur du bureau régional de CIM (Compagnie Internationale de Maintenance) pour l’Afrique et l’Asie.


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