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Photo du rédacteurHarley McKenson-Kenguéléwa

Investir dans les start-up africaines peut rapporter gros : Témoignages inspirants d’investisseurs

Dernière mise à jour : il y a 4 jours


Souvent méconnue ou ignorée du grand public, l’activité d’ange financier et de fonds de capital-risque est pourtant très riche d'enseignements, aussi bien théoriques sur la compréhension des écosystèmes start-up africains, que pratiques en matière de mode de fonctionnement des investisseurs.

Lors de la 8ème édition de l’événement " Africa Early Stage Investor Summit " organisée les 4 et 5 Novembre derniers par le réseau VC4A (Venture Capital for Africa) et l’association ABAN (African Business Angel Network), plusieurs intervenants ont raconté, chacun, ce métier d’une manière aussi passionnelle qu’enthousiasmante.

De façon pédagogique, le webzine CEO Afrique, qui a visionné cette e-conférence, décrypte les arcanes du paysage de l’investissement en capital sur le continent africain, sur la base des témoignages des participants.




Au cours de l’Africa Early Stage Investor Summit 2021, les orateurs ont donné des réponses détaillées et ébauché des réflexions sur les critères qui motivent la décision des business angels ou des fonds de capital-risque d’investir dans des start-up africaines, ainsi que sur les étapes qui jalonnent le parcours des investisseurs en quête de jeunes pousses prometteuses. Ces derniers estiment sans doute avoir confiance dans l'aboutissement des projets entrepreneuriaux dans lesquels ils ont injecté de l’argent, d’autant plus que les pouvoirs publics d’un bon nombre d’États africains semblent vouloir s’orienter vers une stratégie résolument pro-business, en renforçant l’attractivité des grandes métropoles : Nairobi, Accra, Lagos, Port-Louis Cape Town, Le Caire, Gaborone, Luanda, Abidjan, Dakar etc .... Dans un contexte de politiques macro-économiques caractérisées par la mise en œuvre de réformes structurelles durant ces dernières décennies, en vue d’améliorer l’environnement des affaires, les apporteurs de capitaux sont en effet en mesure de s’engager pleinement dans les secteurs les plus porteurs du continent, tout en renforçant leurs capacités dans des domaines d’activité où la main d’œuvre qualifiée est concentrée.


« Au siècle prochain, l’Afrique est le continent qui nous offrira la plus grande opportunité, car c'est là qu'aura lieu le gros de l'accroissement démographique mondial d’ici l’année 2100, soit 40 % de la population à l’échelle planétaire, affirme Colin Coleman, ancien associé de la banque Goldman Sachs, membre du conseil d'administration de Business Leadership South Africa ( BLSA) et co-président du Youth Employment Service (YES), s’appuyant sur les données chiffrées de l’Organisation des Nations unies. Aujourd’hui, l’Afrique compte près de 1,3 milliard de personnes qui sont amenées à se procurer des produits ou des services de première nécessité, comme les technologies de l'information et de la communication, Internet, l'éducation, la santé ou la sécurité [ ... ] »

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